La candidature désormais certaine d’Emmanuel Macron, ajoutée à celle déjà déclarée de Jean-Luc Mélenchon sonne le glas d’une présence de la gauche au second tour de l’élection présidentielle.
Le PRG considère désormais que l’état d’urgence pour la gauche réformiste doit être déclaré.
« La dégradation accélérée de la situation de la gauche depuis quelques semaines ne peut plus être suspendue à une décision individuelle qui engagerait le collectif. » affirme Sylvia Pinel.
Le PRG qui se réunira en convention présidentielle le 26 novembre prochain en appelle à la définition rapide d’une stratégie collective de rassemblement gagnante.